<aside> 👁️ Certaines archives se sont perdues, mais on a réglé le soucis dès la 4ème cold case
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Bienvenue à toi (cher entrepreneur.e)
Nous voici réunis pour notre toute première enquête ensemble.
Je t’avoue que ce n’est pas sans émotions que j’écris ces premières lignes qui, je l’espère, seront le début d’une grande lignée de hot case pour toi et moi.
Bref, trêve de bavardages découvrons dès à présent le dossier du jour 🔎
Il y a quelques mois, j’ai entendu parler d’une affaire de slowpreneuriat. J’ai même eu l’occasion d’échanger lors d’un live Instagram sur ce sujet. Puis je suis retourné à mon quotidien : mes 5 jours de travail par semaine, mes 7h par jour (quand c’est pas plus), mes 75 idées business sous la douche. Tu vois c’que j’veux dire ?
Mais ce terme s’invite de plus en plus dans les discussions : le slowpreneuriat tenterait-il de s’imposer comme la nouvelle manière d’entreprendre ? Enfile ton chapeau mou et ta loupe, nous devons aller mener l’enquête ! 🕵
Tu te demandes peut-être : mais de quoi tu me parles Lucile ? Alors laisse-moi t’expliquer. Le slowpreneuriat est une forme de travail qui s’oppose à la vision du travail “conventionnel” : l’idée est de travailler moins, mais mieux. En gros.
Le slowpreneuriat, ce n’est pas si vieux : il puise sa source sur le mouvement Slowfood initié par Carlo Petrini, un journaliste, sociologue, activiste et critique gastronomique italien qui dans les années 1980 a décidé de combattre “la fast food” et plus généralement les nouvelles méthodes de consommations rapides. Ce mouvement a rapidement été étendu à plus de domaines que la restauration et comme tu l’imagines, à toucher l’entrepreneuriat à son tour.
Le slowpreneuriat lui, repose sur les valeurs fondamentales de durabilité, de qualité, de connexion avec la communauté, de croissance réfléchie, de bien-être des employés, d'innovation consciente et d'éthique des affaires. Et dans les faits, ça ressemble à ça :